Chiffres en Sindarin



Apprendre les chiffres en sindarin

Connaître les chiffres en sindarin est probablement l'une des choses les plus utiles que l'on puisse apprendre à dire, écrire et comprendre en sindarin. Apprendre à compter en sindarin peut être pour vous une curiosité ou un besoin réel. Vous avez peut-être prévu un voyage dans un pays où la sindarin est la langue la plus parlée, et vous voulez pouvoir faire vos achats et même marchander avec une bonne connaissance des chiffres en sindarin.

Il est également utile pour vous guider dans les numéros de rue. Vous serez en mesure de mieux comprendre les indications de lieux et tout ce qui est exprimé en chiffres, comme les heures de départ des transports publics. Pouvez-vous penser à d'autres raisons d'apprendre les chiffres en sindarin ?

Le sindarin (edhellen, edhellen en script tengwar), ou gris-elfique, est l’une des langues imaginaires parlée par les Elfes dans le monde d’Arda créé par J. R. R. Tolkien (dont Le Seigneur des Anneaux est l’œuvre la plus connue). C’est la langue des Sindar ou Elfes Gris, troisième clan des elfes, et s’écrit en alphabet latin, en script tengwar ou en script cirth. Principalement influencé par le finnois, dans sa grammaire, sa phonologie et son vocabulaire, on y trouve aussi des influences du latin, du grec, de l’allemand et de l’espagnol.Par manque de données, nous ne pouvons compter pour l’instant que jusqu’à 1 000 en sindarin. Veuillez me contacter si vous pouvez m’aider à passer outre cette limitation.

Liste des numéros de sindarin

Voici une liste de chiffres en sindarin. Nous avons dressé pour vous une liste de tous les chiffres en sindarin de 1 à 20. Nous avons également inclus les dizaines jusqu'au nombre 100, afin que vous sachiez comment compter jusqu'à 100 en sindarin. Nous terminons également la liste en vous montrant à quoi ressemble le nombre 1000 en sindarin.

  • 1) mîn (mîn)
  • 2) tâd (tâd)
  • 3) nêl (nêl)
  • 4) canad (canad)
  • 5) leben (leben)
  • 6) eneg (eneg)
  • 7) odog (odog)
  • 8) tolodh (tolodh)
  • 9) neder (neder)
  • 10) pae (pae)
  • 11) minig (minig)
  • 12) uiug (uiug)
  • 13) pae-a-nêl (pae-a-nêl)
  • 14) pae-a-canad (pae-a-canad)
  • 15) pae-a-leben (pae-a-leben)
  • 16) pae-ar-eneg (pae-ar-eneg)
  • 17) pae-ar-odog (pae-ar-odog)
  • 18) pae-a-tolodh (pae-a-tolodh)
  • 19) pae-a-neder (pae-a-neder)
  • 20) taphae (taphae)
  • 30) nelphae (nelphae)
  • 40) canaphae (canaphae)
  • 50) lephae (lephae)
  • 60) enephae (enephae)
  • 70) odophae (odophae)
  • 80) tolophae (tolophae)
  • 90) nederphae (nederphae)
  • 100) haran (haran)
  • 1 000) meneg (meneg)

Numéros en sindarin : règles de numérotation en sindarin

Chaque culture a ses particularités qui s'expriment dans sa langue et sa façon de compter. La sindarin ne fait pas exception. Si vous voulez apprendre les chiffres en sindarin, vous devrez apprendre une série de règles que nous allons expliquer ci-dessous. Si vous appliquez ces règles, vous constaterez rapidement que vous serez en mesure de compter en sindarin avec facilité.

La façon dont les nombres sont formés en sindarin est facile à comprendre si vous suivez les règles expliquées ici. Surprenez tout le monde en comptant en sindarin. De plus, apprendre soi-même à compter en sindarin à partir de ces règles simples est très bénéfique pour votre cerveau, car cela l'oblige à travailler et à rester en forme. Travailler avec des chiffres et une langue étrangère comme _language en même temps est l'une des meilleures façons d'entraîner nos petites cellules grises, alors voyons quelles règles vous devez appliquer à la numérotation dans _language

  • Les chiffres de un à neuf et les nombres de dix à douze sont rendus par des mots spécifiques : mîn (mîn) [1], tâd (tâd) [2], nêl (nêl) [3], canad (canad) [4], leben (leben) [5], eneg (eneg) [6], odog (odog) [7], tolodh (tolodh) [8], neder (neder) [9], pae (pae) [10], minig (minig) [11] et uiug (uiug) [12]. Les Elfes utilisaient originellement un système duodécimal (de base 12), ce qui explique l’irrégularité de onze et douze.
  • Les dizaines sont formées en ajoutant une forme du mot dix (phae, phae) après la racine du chiffre multiplicateur correspondant, à l’exception de dix : pae (pae) [10], taphae (taphae) [20], nelphae (nelphae) [30], canaphae (canaphae) [40], lephae (lephae) [50], enephae (enephae) [60], odophae (odophae) [70], tolophae (tolophae) [80] et nederphae (nederphae) [90].
  • Les nombres de treize à quatre-vingt-dix-neuf se construisent en disant la dizaine en premier, puis l’unité reliée avec -a- (-a-) ou -ar- (-ar-) avant une voyelle pour les nombres entre treize et dix-neuf (exp. : pae-ar-eneg (pae-ar-eneg) [16], pae-ar-odog (pae-ar-odog) [17], taphae-a-leben (taphae-a-leben) [25], canaphae-a-eneg (canaphae-a-eneg) [46]).
  • Les centaines se construisent de la même façon que les dizaines, c’est-à-dire en ajoutant le mot cent (haran, haran) après la racine du chiffre multiplicateur correspondant, à l’exception de cent lui-même : haran (haran) [100], tacharan (tacharan) [200], nelcharan (nelcharan) [300], canacharan (canacharan) [400], lefaran (lefaran) [500], enecharan (enecharan) [600], odocharan (odocharan) [700], tolocharan (tolocharan) [800] et nedercharan (nedercharan) [900].
  • Le mot pour mille est meneg (meneg), qui donne menig (menig) au pluriel. Nous obtenons ainsi les milliers : (mîn) meneg (mîn meneg) [1 000], tâd menig (tâd menig) [2 000], neled menig (neled menig) [3 000]… caer menig (caer menig) ou paer menig (paer menig) [10 000].
  • Fonte tengwar
  • Les chiffres dans différentes langues